Depuis des générations, St. Thomas est bien connue pour son industrie automobile, comme tant d’autres communautés ontariennes. On y trouve des usines de montage, des fournisseurs de matériaux et des restaurants de quartier où les travailleurs vont dîner. Merci, Maria, d’être ici pour représenter cette communauté et montrer tous les bienfaits que cette annonce va avoir sur l’ensemble de la communauté. Ici, à St. Thomas, la mention « Fabriqué au Canada » a toujours voulu dire de bons emplois et une communauté forte. Je n’ai donc pas à expliquer à personne ici pourquoi il était si important que le Canada obtienne cette entente pour la construction, à St. Thomas, d’une méga-usine de batteries pour véhicules électriques.

Grâce à ce projet sans précédent, on ne fait pas que reprendre la fabrication. On ramène une économie forte et florissante dans cette communauté et on établit un point d’ancrage pour la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques du Canada.

L’usine de batteries pour véhicules électriques de Volkswagen est un investissement de toute une génération à St. Thomas et dans l’ensemble de l’Ontario et du Canada. À lui seul, ce projet va créer jusqu’à 3 000 emplois directs et jusqu’à 30 000 emplois indirects. Autrement dit, il y aura à St. Thomas de bonnes carrières pendant des années et d’excellents emplois dans la classe moyenne de l’Ontario et du reste du Canada. Je pense à Gordon et Murphy, deux des jeunes hommes avec nous ce matin, qui suivent un programme de formation sur l’automobile et qui peut-être un jour travailleront dans cette usine de batteries ou à l’usine de véhicules électriques près d’ici. Ou à Maria, qui vient de nous raconter son histoire. Ce projet amènera plus de clients dans son café et dans les restaurants et cafés comme le sien. Ou aux travailleurs que j’ai rencontrés loin d’ici, partout au pays, dans des usines de minéraux critiques et qui fournissent les matériaux bruts qui composeront ces batteries pour véhicules électriques.

L’usine de batteries pour véhicules électriques de Volkswagen est un investissement qui va bénéficier à plusieurs générations ici à St. Thomas, mais aussi dans tout l’Ontario et le reste du Canada. À lui seul, ce projet va permettre de créer jusqu’à 3 000 emplois directs et jusqu’à 30 000 emplois indirects. À l’échelle du pays, l’usine de St. Thomas va être un point d’ancrage dans la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques et elle représente une avancée historique pour les travailleurs de partout au pays.

Cependant, comme je l’ai dit au début, au cœur de cette entente se trouvent les travailleurs. C’est pourquoi notre gouvernement, de concert avec le gouvernement de l’Ontario, a investi pour attirer ce projet au Canada. Et on ne parle pas d’une méga-usine pour rien. Elle va créer des milliers et des milliers d’excellents emplois. Et sa valeur s’élèvera à plus de 200 milliards de dollars dans l’économie canadienne au cours des prochaines décennies.

(Applaudissements)

Elle permettra de produire des millions et des millions de batteries pour alimenter l’industrie automobile canadienne, l’un des moteurs de notre économie propre. De plus, ce projet rapportera la même valeur que l’investissement du gouvernement, et ce, en moins de cinq ans.

(Applaudissements)

Ce sont ces chiffres-là qui sont importants. J'en profiterais aussi pour souligner le partenariat avec le premier ministre Ford. En travaillant ensemble, on peut réaliser de grandes choses. Parce que la mention « Fabriqué au Canada » veut dire tellement plus que bâtir ceci ou cela. Elle revient à bâtir un avenir fort pour la classe moyenne et un avenir fort pour nos enfants. 

Au cours de la dernière année et demie, on a attiré plein de projets en Ontario et au Canada. Je pense par exemple à l’usine de GM à Ingersoll ou à l’usine de Stellantis à Windsor ou à l’usine de minéraux critiques de Rio Tinto au Québec qui produit les éléments au cœur de la technologie propre. Ces ententes représentent des dizaines de milliers d’emplois et des dizaines de milliards de dollars. Et avec le Budget 2023, on fait un autre pas vers l’avant en proposant des investissements dans la fabrication de technologies propres, de véhicules électriques et plus encore.

Alors, aux politiciens qui disent qu’on doit encore choisir entre l’environnement et l’économie, je vous dis de bien regarder ce que les Canadiens, les travailleurs canadiens sont en train d’accomplir. On peut et on va continuer de livrer des bons emplois pour la classe moyenne et de l’air propre en même temps.

C’est difficile à croire, mais certains continuent de dire qu’on doit choisir entre protéger l’environnement et faire croître l’économie. Ici, aujourd’hui, tout le monde devrait être sûr d’une chose : il faut à la fois bâtir une économie forte offrant d’excellents emplois à la classe moyenne et offrir un air sain et un avenir lumineux à ce pays.