Main Container

logo

Le premier ministre souligne son engagement à combattre les crimes sexuels et la traite de personnes

Main Content

Le gouvernement du Canada s’engage à combattre les crimes sexuels et la traite de personnes à des fins d’exploitation sexuelle. Ces crimes sont un problème à travers le monde et ils ont des conséquences dévastatrices sur les victimes.

C’est pourquoi le premier ministre Justin Trudeau a souligné aujourd’hui que, dans le contexte du soutien financier continu que le gouvernement du Canada accorde au Grand Prix de Formule 1 du Canada à Montréal, il a demandé au ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique – en collaboration avec la Province de Québec, la Ville de Montréal et d’autres partenaires – de surveiller les résultats de leurs efforts collectifs en vue de combattre les crimes sexuels et la traite de personnes durant cet événement. Il lui a également demandé de veiller à ce que des progrès soient réalisés pour réduire la fréquence de ces actes criminels.

Les trois ordres de gouvernement travaillent ensemble afin d’éliminer l’exploitation sexuelle et à veiller à ce que le Grand Prix demeure un événement familial qui reflète tout ce que Montréal a de meilleur à offrir.   

Citation

« Les crimes sexuels et la traite de personnes n’ont pas leur place dans notre pays, et certainement pas durant la fin de semaine du Grand Prix de F1 à Montréal. Notre gouvernement travaille de près avec le gouvernement provincial, la Ville de Montréal et d’autres partenaires afin de combattre ces activités. Je suis confiant que ces efforts aideront grandement à protéger les femmes et les hommes les plus vulnérables. Grâce au soutien continu que nous accordons au Grand Prix du Canada, nous nous attendons à voir des progrès marqués dans la résolution de ce problème qui dure depuis longtemps. »
̶  Le très honorable Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Faits saillants

  • Les personnes vulnérables qui sont le plus à risque de faire l’objet de traite de personnes sont notamment les travailleurs migrants, les nouveaux immigrants, les jeunes, les filles et femmes autochtones, les personnes défavorisées sur le plan social ou économique ou celles qui ont été attirées vers un centre urbain sous un faux prétexte ou qui y sont allées de leur plein gré dans l’espoir d’une vie meilleure.
  • La GRC assure la gestion du Centre national de coordination contre la traite de personnes, qui sert de point de contact pour les organismes d’application de la loi qui luttent contre la traite de personnes et qui s’efforcent de déstabiliser les individus et les organisations criminelles impliqués dans de telles activités. 

Lien connexe