Transcription - Le PM Trudeau prononce une allocution sur le financement des programmes de formation et compétences
Le PM Trudeau prononce une allocution sur le financement des programmes de formation et compétences
Bonjour, tout le monde. C’est toujours un plaisir de revenir ici, à Niagara, particulièrement durant une journée d’été parfaite comme celle-ci. Je tiens à remercier M. Patterson ainsi que les étudiants et le personnel du Niagara College de nous accueillir. J’aimerais aussi remercier mon collègue et ami, le député Chris Bittle, qui est parmi nous aujourd’hui.
Je viens de finir une visite des installations, et je dois avouer que je vous envie beaucoup de pouvoir dire que ceci est votre travail. Qui n’aimerait pas prendre la route chaque jour pour aller travailler dans un vignoble comme ceci?
Maintenant, comme enseignant et comme premier ministre, j’ai passé pas mal de temps dans des écoles. J’ai eu la chance de visiter de nombreux établissements aux quatre coins du pays, et je suis toujours surpris de l’esprit d’innovation dont font preuve les collèges et les universités. Les étudiants d’aujourd’hui profitent d’un choix de grades, de diplômes et de certificats beaucoup plus vaste que celui qui nous était offert lorsque nous étions aux études. Nos établissements postsecondaires ont été capables de s’adapter aux réalités de la nouvelle économie et d’adapter leurs programmes d’études afin de répondre aux demandes d’un monde en rapide évolution. Il ne faut pas oublier que ce n’est pas tout le monde qui profite de ces incroyables programmes, que tout le monde n’a pas l’occasion de suivre la formation souhaitée, dans un domaine qu’il aime. Notre gouvernement cherche à changer cela.
Partout au pays, nous faisons des investissements judicieux et ciblés dans le perfectionnement des compétences pour que plus de Canadiens puissent fréquenter des établissements comme le Niagara College et, ainsi, atteindre et acquérir les compétences dont ils ont besoins pour réussir. Des étudiants nous ont dits qu’ils avaient dû faire un choix entre poursuivre leurs études ou payer leur loyer. Nous avons aussi entendu des parents nous dire qu’ils craignaient ne pas avoir les aptitudes nécessaires pour décrocher un bon emploi de la classe moyenne dans la nouvelle économie.
Notre gouvernement veut aider les Canadiens à améliorer leur qualité de vie et celle de leur famille, et nous savons que cela commence par l’éducation. Depuis le début de notre mandat, nous avons pris des mesures concrètes pour baisser le coût des études, mieux soutenir les adultes sur le marché du travail qui pensent à retourner aux études, et créer de nouvelles possibilités d’apprentissage pour tout le monde. Nous avons commencé par bonifier le Programme canadien de prêts et bourses pour étudiants, pour que les études postsecondaires soient plus abordables pour les étudiants à faible et à moyen revenu. Nous avons aussi doublé le nombre d’emplois offerts dans le cadre du Programme emploi été Canada pour que les jeunes Canadiens puisse se trouver un emploi, un emploi dont ils ont besoin pour acquérir de l’expérience en milieu de travail et épargner pour leur avenir. Et, avec notre plus récent budget, nous sommes allés encore plus loin.
Nous faisons en sorte que les gens qui sont déjà sur le marché du travail aient plus facilement accès au Programme canadien de prêts et bourses pour étudiants afin de pouvoir continuer de subvenir aux besoins de leur famille tout en perfectionnant leurs compétences. Et pour les gens au chômage, nous avons apporté des changements au programme d’assurance-emploi. Dorénavant, les parents peuvent retourner aux études sans craindre de perdre les prestations d’assurance-emploi dont ils ont besoin pour nourrir leur famille.
Nous savons qu’en investissant dans les compétences et la formation, nous investissons dans les Canadiens et dans leur potentiel. Nous aidons les étudiants, les parents et même les grands-parents à obtenir et à conserver des emplois de qualité et bien rémunérés dans le domaine de leur choix, des emplois grâce auxquels ils toucheront plus d’argent qui leur servira à épargner, investir et faire croître l’économie.