Transcription - Des repas sains pour les enfants, des économies pour les familles de l’Ontario
Des repas sains pour les enfants, des économies pour les familles de l’Ontario
Bonjour tout le monde! Je suis très heureux de vous voir aujourd’hui. C’est toujours un immense plaisir pour moi de me retrouver dans une classe remplie d’enseignants et d’élèves.
(Rires)
Ça me manque tous les jours, mais je sais aussi que le fait de célébrer nos enseignants, de célébrer les élèves et de leur fournir le plus important départ dans la journée joue un très grand rôle dans la façon dont on bâtit la réussite du Canada d’un océan à l’autre, et c’est ce que je suis en train de faire.
Je veux particulièrement remercier Andrew pour ton accueil ici aujourd’hui, ton leadership.
Tous les membres de la direction et du personnel enseignant de cette école, et aussi tous les élèves que j’ai vus s’efforcer de démontrer et de développer leur sens du leadership en partageant des programmes d’alimentation scolaire avec leurs camarades de classe et en comprenant toute l’importance d’améliorer le monde dans tout ce qu’on fait, tous les jours. Parlant de gestes positifs pour le monde, j’ai le grand plaisir d’être ici en compagnie de solides membres de notre équipe : Kamal, Jenna, Michael, Jill, Heidi, de cette province et de la Fédération canadienne des enseignantes et enseignants. Quand on voit la manière dont les Canadiens se mobilisent et s’entraident dans les moments difficiles, les raisons d’être optimistes ne manquent pas, et on constate concrètement les résultats se mettre en place. L’inflation a énormément diminué depuis les sommets atteints dans le monde ces dernières années. Elle est maintenant revenue à l’intérieur de la fourchette cible que la Banque du Canada a établie. Par conséquent, on voit les taux d’intérêt diminuer, ce qui améliore énormément la situation. Des investissements étrangers totalisant des sommes record sont réalisés au Canada pour créer des emplois et des opportunités et pour stimuler notre économie de manière très concrète. Alors, on a beaucoup de très bonnes nouvelles pour l’économie canadienne. Mais, en même temps, les Canadiens sont coincés. Même si notre économie se porte bien, les Canadiens ont de la difficulté à joindre les deux bouts. Voilà pourquoi, comme gouvernement, on est intervenus en prenant des mesures concrètes pour soutenir les familles.
À mesure qu’on réduit l’inflation et que les taux d’intérêt baissent, on voit qu’on a été capables d’obtenir toute une série de résultats très concrets pour les gens. Ce qu’on a fait concernant la garde d’enfants, en permettant aux familles d’un bout à l’autre du pays d’économiser des milliers de dollars par année à un moment où les frais étaient en hausse, en fournissant des soins dentaires à plus d’un million de Canadiens et en s’apprêtant à atteindre 9 millions de Canadiens, ça enlève une pression énorme sur le budget des familles et leur évite de payer de leurs poches parce qu’ils n’ont pas d’assurances, en faisant des progrès concernant l’assurance-médicaments; l’insuline gratuite pour les gens qui en ont besoin et la gratuité des produits contraceptifs sur ordonnance, parce que tout le monde devrait pouvoir choisir lorsqu’il est question de la façon et du moment de fonder une famille. On a investi dans ces priorités pour soulager les Canadiens, mais on sait qu’il reste du travail à faire. Les Canadiens ont besoin d’un répit supplémentaire, alors c’est ce qu’on a décidé de leur offrir pour deux mois à compter de la mi-décembre en éliminant la TPS et la TVH sur une gamme de produits très importants qui ont tendance à faire grimper les factures rapidement. Et je sais que les familles examinent attentivement leur budget, regardent ce qu’elles peuvent s’offrir et font des choix à l’épicerie qui sont très, très présents dans leur esprit.
Eh bien, cette mesure vise à rassurer les gens quant à leur capacité d’offrir à leurs enfants et à leurs familles les meilleures options possibles. On élimine la TPS et la TVH sur les tous les produits d’épicerie à compter de la mi-décembre. On élimine la TPS et la TVQ sur les visites au restaurant, y compris sur les plats à emporter et la restauration rapide. On l’élimine sur les vêtements et les chaussures pour enfants, les jouets et les sapins de Noël pour les Fêtes. On l’élimine sur des articles qui ont tendance à faire grimper les factures très rapidement pour les familles, afin d’accorder aux gens un congé de taxe dont ils ont vraiment besoin. De plus, à compter du mois d’avril, on va verser une Remise pour les travailleurs canadiens de 250 dollars à toutes les personnes qui ont travaillé l’année dernière et ont gagné moins de 150 000 dollars. Ce sont là des investissements qui aident les gens durant une période où ils sont coincés et au moment où notre économie commence vraiment à connaître un revirement positif, pour veiller à ce que tout le monde le ressente, pour que les gens sachent qu’on se concentre sur eux. Mais en parallèle à ça, on intervient aujourd’hui pour multiplier les programmes d’alimentation scolaire d’un bout à l’autre du pays grâce à un vaste accord avec l’Ontario qui va relever la barre pour le reste du pays. J’en suis très heureux, parce qu’il y a quelques mois, dans le cadre de notre dernier budget, on s’est engagés à assurer l’alimentation en milieu scolaire de 400 enfants de plus à travers le pays, en collaboration directe avec les provinces et les territoires.
C’est exactement ce qu’on est en train de faire aujourd’hui. On a fait la promesse de 400 000 enfants à travers le pays qui allaient accéder à la nourriture scolaire de façon plus facile et plus régulière, un milliard de dollars sur cinq ans qu’on était prêts à investir, et de plus en plus de provinces viennent travailler avec nous pour livrer pour les jeunes. Aujourd’hui, on célèbre le fait qu’ici, en Ontario, 160 000 jeunes vont avoir plus accès à la nourriture scolaire.
Ici, en Ontario, on a maintenant conclu un accord qui va permettre de fournir des repas sains à 160 000 enfants ontariens au cours de la prochaine année. C’est une augmentation énorme. On parle de près de 10 millions de repas d’ici la fin de l’année scolaire seulement et de beaucoup d’autres, bien entendu, au cours des prochaines années.
(Applaudissements)
Voilà. On voit les résultats; ici, à l’école publique d’Aylesbury, on voit les résultats de l’alimentation scolaire pour les enfants et pour toute la communauté. D’abord, comme enseignant, je me souviens que quand les élèves n’ont pas le ventre plein, quand ils n’arrivent pas à entendre l’enseignant à cause de leur ventre qui gargouille, quand ils sont inquiets, manquent d’énergie et ne peuvent pas se concentrer en classe parce qu’ils ont faim, chacun de nous en souffre. Pas seulement eux, mais aussi l’avenir qu’ils bâtissent et les futures contributions au Canada qu’ils veulent être en mesure d’apporter. Voilà pourquoi l’objectif de l’alimentation scolaire est d’être là pour tout le monde et non seulement pour les enfants vulnérables, même s’il y a toujours plus de soutien pour eux. C’est pour tous les enfants, parce que de plus en plus de familles, même si elles en ont les moyens, sont pressées le matin, plus de gens essayent de se dépêcher pour s’assurer que leurs enfants profitent d’une alimentation saine, nutritive et de qualité. C’est là pour tout le monde. Ça nous permet de veiller à ce que chaque enfant se voit offrir des possibilités. Pas de stigmatisation; seulement du soutien. C’est un aspect très important du programme. L’autre aspect très important du programme, que j’ai vu de mes yeux dans beaucoup d’écoles à travers le pays, c’est qu’il laisse une place énorme au leadership des élèves. Quand les élèves prennent le programme en main, ce sont eux qui préparent les repas de leurs camarades de classe, qui distribuent les collations, qui commencent à comprendre que jouer un rôle positif dans sa communauté est l’une des choses les plus satisfaisantes au monde. Savoir qu’on peut être là pour aider et contribuer à améliorer le monde est une leçon très importante à apprendre, qu’ils voient leurs merveilleux enseignants incarner à longueur de journée, mais ils ont la possibilité d’aider concrètement leurs pairs, ce qui est une expérience transformatrice.
On est conscients que les Canadiens se heurtent à des défis en ce moment, alors on est intervenus. On est intervenus en augmentant l’Allocation canadienne pour enfants, qui met des centaines de dollars par mois dans le portefeuille des familles qui ont besoin d’aide. Même avec le prix qu’on impose sur la pollution : en remettant des chèques de 1 100 dollars par année dans le cas d’une famille ontarienne de quatre personnes, ce qu’on redonne aux gens est plus élevé que le prix qu’ils paient pour la pollution. Cette Remise canadienne sur le carbone est une mesure qui vise à rendre la vie abordable en aidant les familles qui travaillent fort, tout en nous permettant d’innover et de lutter contre les changements climatiques. La liste de ce qu’on fait pour aider les Canadiens est très longue, et on n’arrête pas d’être là pour aide les gens grâce au congé de taxe durant les Fêtes, la Remise pour les travailleurs canadiens et tous les programmes qu’on a mis en place pour aider les Canadiens à profiter du fait que notre économie rebondit avec une vigueur sans précédent.