Transcription - Allocution sur le lancement de la Réponse mondiale au coronavirus
Allocution sur le lancement de la Réponse mondiale au coronavirus
Bonjour à tous.
Dans la lutte contre la COVID-19, notre priorité sera toujours la situation au pays.
Mais la COVID-19 est un défi mondial.
Pour assurer la sécurité des Canadiens et relancer notre économie, on doit vaincre ce virus non seulement à l’intérieur de nos frontières, mais où qu’il soit.
C’est comme ça qu’on se débarrassera de la COVID-19 pour de bon.
Alors qu’on assure la coordination de nos efforts partout au pays, on collabore également avec nos alliés pour faire de même à l’échelle mondiale.
Plus tôt ce matin, je me suis joint à des dirigeants d’autres pays, de la société civile et de l’industrie pour collaborer à accélérer la mise au point de vaccins, de traitements et de tests pour la COVID-19 à l’échelle mondiale.
On a tous le même objectif : mettre fin à cette pandémie.
Et le Canada contribue à l’effort.
La contribution de notre pays à la lutte mondiale contre la COVID-19, qui s'élève à plus de 850 millions de dollars canadiens, comprend des investissements dans les travaux de recherche menés au Canada et ailleurs dans le monde.
Au pays, on octroie du financement à diverses organisations, dont la Vaccine and Infectious Disease Organization de l’Université de la Saskatchewan, pour appuyer ses travaux sur le développement d’un vaccin, et l’entreprise AbCellera, établie à Vancouver, pour l’aider à mettre au point des traitements.
D’un bout à l’autre du pays, on s’assure que les Canadiens peuvent continuer de mener la charge.
Notre engagement de 850 millions de dollars prévoit également un soutien pour la mise au point d’un vaccin par l’intermédiaire de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, et pour l’initiative de l’OMS visant à favoriser l’échange de renseignements entre les hôpitaux.
Si on intensifie notre collaboration, on a plus de chance de trouver une solution, et de la trouver rapidement.
Et c’est ce qu’on veut tous.
Depuis le début de la crise, on se concentre sur ce qui se passe chez nous.
On travaille fort pour assurer la sécurité des Canadiens et appuyer nos travailleurs de première ligne en préparant la relance de l’économie.
Mais la COVID-19 est un défi mondial qui exige une solution mondiale – et tout le monde doit faire sa part.
La contribution du Canada à la lutte mondiale contre la COVID-19, qui s'élève à plus de 850 millions de dollars, comprend des investissements dans les travaux de recherche menés au Canada et ailleurs dans le monde.
Ça comprend aussi la mise au point d’un vaccin par l’intermédiaire de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, et le travail de l’OMS, qui favorise l’échange de renseignements entre les hôpitaux.
En travaillant tous ensemble sur le même enjeu, on maximise nos chances de trouver une solution plus rapidement.
Et c’est ce que tous les pays et tous les citoyens du monde veulent.
La COVID-19 représente un défi sans précédent.
Mais ce n’est pas la première fois que les Canadiens sont appelés à faire leur part.
Au fil des générations, les Canadiens ont répondu à l’appel, à maintes reprises, pour défendre notre avenir commun.
Cette semaine marque le 75e anniversaire de la libération des Pays-Bas et du jour de la Victoire en Europe.
De l’automne 1944 au printemps 1945, des milliers de Canadiens ont repoussé les forces d’occupation – rue après rue, village après village.
Ils se sont battus et beaucoup ont donné leur vie pour défendre les valeurs qui nous sont chères : la paix et la démocratie, la primauté du droit et les droits de la personne.
Et aujourd’hui, 75 ans plus tard, on se souvient de leur courage et de leur sacrifice.
Plus tôt ce matin, je me suis entretenu avec le premier ministre des Pays-Bas, Mark Rutte.
On a parlé des liens d’amitié étroits et durables qui unissent nos pays.
On a parlé de la façon dont on a uni nos efforts dans le passé pour défendre nos valeurs, et de la façon dont on le fait encore aujourd’hui face à cette crise mondiale – dans l’amitié et la solidarité.
Alors aujourd’hui à 14 h, heure de l’Est, j’invite tous les Canadiens à se joindre à moi et à nos amis et alliés aux Pays-Bas pour observer deux minutes de silence en l’honneur de nos anciens combattants.
Pendant cette pause, pensons à la façon dont on peut tous suivre leur exemple.
Peut-être que vous allez faire votre part en restant chez vous pour protéger nos travailleurs de la santé.
Peut-être que vous apporterez des produits d’épicerie à votre voisin âgé, ferez un don à une banque alimentaire ou écrirez une carte postale à un ancien combattant pour le remercier de son service.En posant de tels gestes, vous contribuez à votre communauté et démontrez que les Canadiens n’hésitent jamais à répondre à l’appel.
Je sais que vous voulez profiter du beau temps, mais on doit encore être très prudents.
Et pas seulement pour nos aînés, mais pour tout le monde autour de nous.
Alors, ne sortez que pour le nécessaire.
Et si vous devez sortir, gardez une distance de deux mètres avec les autres.
Cette semaine marque le 75e anniversaire de la libération des Pays-Bas et du jour de la Victoire en Europe.
De l’automne 1944 au printemps 1945, des milliers de Canadiens ont repoussé les forces d’occupation – un village à la fois.
Ils se sont battus et beaucoup ont donné leur vie pour défendre les valeurs qui nous sont chères. Et aujourd’hui, 75 ans plus tard, on se souvient de leur courage et de leur sacrifice.
À 14 h, heure de l’Est, j’invite tous les Canadiens à se joindre à moi pour observer deux minutes de silence en l’honneur de nos anciens combattants.
Pendant ces deux minutes, pensons à la façon dont on peut tous suivre leur exemple.
Peut-être que vous allez faire votre part en restant chez vous pour protéger nos travailleurs de la santé, en faisant un don à une banque alimentaire ou en écrivant une carte postale à un ancien combattant pour le remercier.
Chacun d’entre nous peut aider sa communauté.
Mais peu importe ce que vous décidez de faire, continuez de rester chez vous et gardez deux mètres de distance les uns des autres.
Merci beaucoup.