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Puisque les tarifs douaniers proposés par les États-Unis ont été suspendus pendant 30 jours, c’est le moment opportun de mettre en place un programme de prospérité à long terme pour le Canada. Ce programme doit être résilient et diversifié sur le plan du commerce mondial, et il doit contribuer à faire tomber les barrières entre les provinces et les territoires.

Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé aujourd’hui la tenue du Sommet économique Canada–États-Unis, un événement phare organisé avec les membres du Conseil sur les relations canado-américaines pour stimuler les affaires et les investissements dans l’ensemble du Canada. Le Sommet aura lieu à Toronto, en Ontario, le 7 février 2025.

Le Sommet économique Canada–États-Unis s’appuiera sur les travaux réalisés par le Conseil du premier ministre sur les relations canado-américaines et réunira des dirigeants canadiens des secteurs du commerce, des affaires, de la politique publique et du syndicalisme. Ces dirigeants tireront parti de leur expertise sectorielle pour explorer des moyens de faire croître l’économie canadienne, de faciliter la construction de logements ainsi que le commerce à l’intérieur du pays, de diversifier les marchés d’exportation et de stimuler la productivité. Grâce au Sommet, les partenaires présents pourront accroître leur coordination, leur coopération et leur interopérabilité, notamment au moyen de conversations ciblées sur des enjeux et secteurs précis.

Le Canada est la neuvième économie en importance dans le monde. Nous disposons de gens de talent de calibre mondial, de minéraux critiques, de ressources naturelles et d’un écosystème technologique dynamique, et nous cherchons toujours à grandir. Le Sommet économique Canada–États-Unis est le fruit de notre ambition – la prochaine étape qui nous permettra de libérer entièrement notre croissance économique.

Le gouvernement du Canada, les entreprises, les syndicats et la société civile du pays ainsi que des dizaines de millions de Canadiens d’un océan à l’autre sont unis autour d’un même objectif : bâtir un Canada plus fort, offrant plus d’emplois et des salaires plus élevés et jouissant d’une prospérité à long terme.

Citation

« Le Sommet économique Canada–États-Unis représente ce que le Canada en entier a de mieux à offrir. Nous réunissons des partenaires du monde des affaires, de la société civile et des syndicats pour trouver des moyens de stimuler notre économie, de créer plus d’emplois et des salaires plus élevés, de faciliter la construction de logements et le commerce à l’intérieur de nos frontières et de diversifier les marchés d’exportation. Nous voulons que les entreprises, les investisseurs et les travailleurs choisissent le Canada. »

Faits saillants

  • Le Canada et les États-Unis sont les plus grands partenaires commerciaux l’un de l’autre, avec près de 3,6 milliards de dollars (2,7 milliards de dollars américains) de biens et de services qui ont franchi la frontière chaque jour en 2023.
  • Appuyé par un investissement de 1,3 milliard de dollars et reposant sur cinq piliers, le Plan frontalier du Canada renforce la sécurité des frontières et notre système d’immigration et contribue à assurer la future prospérité du Canada.
  • L’année dernière, des biens et services d’une valeur de plus de 530 milliards de dollars ont franchi les frontières provinciales et territoriales, ce qui représente près de 20 % du produit intérieur brut du Canada.
  • Le 17 janvier 2025, le premier ministre Justin Trudeau a convoqué la première réunion du nouveau Conseil sur les relations canado-américaines. Le Conseil, qui est composé de dirigeants des milieux des affaires, de l’innovation et de la politique, formulera des avis à l’intention du premier ministre et du Conseil des ministres sur les questions liées aux relations entre le Canada et les États-Unis, y compris la menace de tarifs douaniers.
  • Le Comité du commerce intérieur est composé de tous les ministres fédéraux, provinciaux et territoriaux responsables du commerce intérieur. Il est chargé de superviser la mise en œuvre de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC), et notamment de superviser un certain nombre de groupes de travail de l’ALEC, d’aider au règlement des différends, d’approuver le budget annuel de fonctionnement du Secrétariat du commerce intérieur et d’examiner toute autre question qui pourrait avoir une incidence sur l’application de l’ALEC.

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