Transcription - De meilleurs transports en commun pour les Montréalais
De meilleurs transports en commun pour les Montréalais
Aujourd'hui, on lance la phase 1, donc c’est seulement la première étape, mais ça prouve qu’on peut accomplir de grandes choses quand on travaille tous ensemble en partenariat.
Au gouvernement fédéral, le transport collectif fait partie de notre vision pour un meilleur avenir.
Premièrement, parce qu’évidemment le transport collectif efficace améliore la qualité de vie des gens. Pour une mère ou un père qui habite, qui travaille au centre-ville de Montréal et qui habite ici, à Brossard ou ailleurs sur la Rive-Sud, ça veut dire moins de temps dans la congestion routière, plus de temps avec les enfants.
Deuxièmement, le transport collectif nous aide aussi à garder notre air propre et à combattre les changements climatiques. Le REM est à 100 % électrique et, quand il va être terminé, on va réduire nos émissions de gaz à effet de serre d’un équivalent de 30 000 voitures de moins sur nos routes à Montréal par jour. On le voit avec les feux de forêt cette année. Les changements climatiques ont des conséquences de plus en plus dévastatrices. Alors, quand on bâtit des projets comme le REM, on lègue à nos enfants un environnement plus sain et plus propre et des communautés où il fait bien vivre.
Et troisièmement, le transport collectif rend nos communautés plus connectées. C’est important surtout dans un contexte où il faut redoubler nos efforts pour rendre le logement plus abordable. On va pouvoir créer plus de logements et plus de densité dans les zones autour des stations du REM. Les gens vont pouvoir se déplacer plus facilement d’un endroit à l’autre.
Notre gouvernement a pour objectif d’obtenir des résultats pour les Canadiens et les Québécois. C’est le plus vaste projet de transport collectif entrepris au Québec dans les 50 dernières années. Une fois terminé, le REM ajoutera 26 stations et 67 kilomètres de rails au réseau de métro actuel de Montréal, ce qui permettra d’améliorer de manière considérable les services de transport collectif auxquels ont accès les résidents de la région du Grand Montréal. Lorsque les phases 2 et 3 auront démarré, le réseau du REM sera aussi relié aux communautés de l’Ouest-de-l’Île et de la Rive-Nord. Pour soutenir ce projet, on investit 1,28 milliard de dollars par l’intermédiaire de la Banque de l’infrastructure du Canada ainsi que 300 millions de dollars additionnels pour la construction de la station du REM à l’aéroport Montréal-Trudeau.
D'ailleurs, pendant l’été 2019, on avait célébré l’ouverture du nouveau pont Samuel-De Champlain. Le projet du REM qu’on inaugure aujourd'hui n’aurait pas été possible sans cette construction névralgique pour le Grand Montréal.
Depuis 2015, notre gouvernement a fait des investissements historiques dans le transport collectif à travers le pays. Je pense au nouveau réseau ici, mais aussi Vancouver et ailleurs, en plus d’investir dans des autobus électriques fabriqués au Québec par les travailleurs chez Novabus.
Et on va créer le premier Fonds national permanent pour le transport collectif de 3 milliards de dollars par année à partir de 2026.
Un peu plus tôt, je parlais de notre vision pour l’avenir. Notre vision pour l’avenir, c’est simple : créer de bons emplois, rendre la vie plus abordable, faciliter la vie des gens et protéger l’environnement. Eh bien, le REM nous aide à faire ça tout en même temps.