Transcription - Goodyear Canada investit afin d’agrandir son usine en Ontario pour créer et maintenir des emplois
Goodyear Canada investit afin d’agrandir son usine en Ontario pour créer et maintenir des emplois
Depuis des décennies, le secteur de l’automobile est l’un des moteurs de l’économie canadienne. Le secteur automobile, c’est l’une des plus importantes sources d’exportation. L’an dernier, il a ajouté 18 milliards de dollars à notre PIB. Et il crée pour les Canadiens des emplois bien rémunérés, gratifiants et bons pour le développement des communautés pour plus d’un demi-million de Canadiens d’un océan à l’autre.
On a vu que l’économie mondiale était en transformation, on a vu que pendant qu’on s’efforçait de lutter contre la crise climatique et à offrir de l’air pur, il fallait passer des voitures à essence aux voitures électriques. Et donc, on a agi en investissant.
On a choisi de soutenir nos travailleurs de l’automobile et d’investir dans l’avenir de l’industrie. Et les résultats parlent d’eux-mêmes. Au cours des quatre dernières années seulement, on a attiré des investissements d’une valeur de plus de 46 milliards de dollars dans notre chaîne d'approvisionnement des véhicules électriques, des mines jusqu'aux chaînes de montage. Rio Tinto, General Motors, Northvolt, Volkswagen, Honda et tant d’autres; ces chefs de file mondiaux ont constaté tout ce que le Canada et les Canadiens ont à offrir. L’abondance de sources d’énergie propre et l’engagement à prendre des mesures rigoureuses pour le climat. L’accès aux minéraux critiques et à d’autres ressources naturelles. Des institutions démocratiques stables et fiables. De solides liens commerciaux qui s’étendent aux quatre coins du monde. Et, par-dessus tout, les meilleurs travailleurs au monde.
Quand je vais à l’étranger pour mettre le Canada en valeur, c’est certain qu’on parle de nos ressources, qu’on dit qu’on a conclu plus d’accords commerciaux qu’à peu près tout le monde, qu’on est le seul pays du G7 à avoir conclu des accords commerciaux avec tous les autres pays du G7, mais notre plus grand avantage concurrentiel, c’est les Canadiens eux-mêmes. Les entreprises du monde entier tentent de s’associer avec la main-d’œuvre fiable, scolarisée, ambitieuse et sérieuse qu’on trouve d’un bout à l’autre du pays. Voilà pourquoi des entreprises comme Goodyear, qui est présente dans le monde entier, nous disent : « Alors, savez-vous quoi? On double la mise sur nos investissements au Canada. On sait que les Canadiens vont livrer la marchandise dans ce monde en transformation. » On est un pari sûr. C’est pourquoi on a vu une hausse marquée de l’investissement direct étranger au cours des dernières années à mesure que les entreprises viennent investir au Canada. C’est grâce à chacun de vous. Alors, continuez comme ça; l’avenir est entre bonnes mains.
Voyez-vous, quand on présente cette série de faits aux investisseurs internationaux, leur choix devient simple. Ils choisissent le Canada, ils choisissent les Canadiens. Et aujourd'hui, un chef de file mondial de plus fait exactement comme eux. Avec le soutien du gouvernement du Canada, Goodyear agrandit et modernise cette usine afin de produire des pneus fabriqués spécialement pour les véhicules électriques. L’investissement de plus de 575 millions de dollars réalisé par Goodyear va créer et assurer le maintien de centaines d’emplois bien rémunérés et durables ici même, à Napanee, tout en garantissant l’atteinte de la carboneutralité d’ici 2040. Et en plus, ils réinvestissent dans les activités canadiennes de recherche et développement pour que le Canada reste un chef de file mondial du secteur des véhicules électriques dans les décennies à venir.
Aujourd'hui, Goodyear fait comme d’innombrables autres chefs de file du secteur de l’automobile en plaçant sa confiance dans les travailleurs canadiens. Ils savent que le Canada est l’endroit où ils doivent investir pour être à la pointe de la transformation énergétique mondiale, et c’est pourquoi ils interviennent et font leur part afin de créer une économie forte et résiliente ici, au Canada, aujourd'hui et pour les décennies qui viennent. Parce que c’est le sens véritable de cette annonce. Ce dont on parle en ce moment va beaucoup plus loin que la fabrication de quelques pneus supplémentaires, même si deux millions de pneus supplémentaires, c’est quand même excellent! Ce dont on parle, c’est des emplois sur lesquels Goodyear va compter et sur lesquels les gens de ces communautés peuvent compter.
J’ai discuté avec Hannah plus tôt aujourd'hui. Elle est là, au bout, en rouge. Elle appartient à la deuxième génération de sa famille à travailler ici, chez Goodyear. Il y a des gens ici qui font partie d’une troisième génération; dont les parents et les grands-parents ont fait partie de cette usine, si on remonte à la fin des années quatre-vingt. Cet investissement, qui survient à un moment où les gens sont inquiets de voir la concurrence mondiale s’intensifier… Cet investissement, cette confiance dans le Canada et les Canadiens, signifie que non seulement il va y avoir une quatrième génération de fabricants de pneus ici chez Goodyear, à Napanee, mais qu’il va aussi y avoir une cinquième, une sixième et une septième génération. Ça veut dire que des gens vont fabriquer des produits ici, au Canada, qui vont être adaptés aux besoins du monde.
Le monde se transforme avec les véhicules électriques, alors fabriquer des pneus pour les véhicules électriques… en passant, pourquoi faut-il que les pneus des véhicules électriques soient différents des autres? Eh bien, les véhicules électriques sont plus lourds, leur couple est plus puissant, alors il faut ajouter de la résistance dans les roues et il faut qu’ils soient moins bruyants. Quand les pneus, et non le moteur, sont la partie la plus bruyante des automobiles, les innovations comme celles de Goodyear sont de plus en plus importantes. Et quand une entreprise cherche le moyen de jouer un rôle de premier plan dans les prochaines décennies, elle cherche à faire des investissements sûrs et solides dans des endroits comme le Canada et dans des travailleurs comme les travailleurs canadiens.